1917, hier et aujourd'hui.

1917, une date qui nous ramène plus d’un siècle en arrière grâce au dernier film de Sam Mendes. Sur le front, l’homme fait face à son semblable, retranché pour un temps, attendant une fin lugubre et inévitable, attendant une mort parfois insensée. Et ces hommes sont jeunes, souvent très jeunes. Enrôlés dans une guerre meurtrière, ces soldats sont comme nous. Allemands, français comme britanniques, ils mangent, ils boivent, ils aiment, ils espèrent, ils ont peur, ils pleurent, ils tuent, ils meurent.
Quand la mort emporte en si peu de temps des millions d’âmes dans les abysses, on pense que cela ne se reproduira plus, en tout cas pas à cette échelle. Les utopiques appelleront même la Première Guerre Mondiale la guerre qui mettra fin à la guerre.
Ah si seulement l'homme pouvait apprendre de ses erreurs. Ah si seulement...
À partir de 1920, Il n’a fallu que quelques décennies à un dictateur communiste pour envoyer à la mort dans les goulags des millions de compatriotes.
En 1939, un nouveau leader porté par toute une nation entraînera la destruction et le chaos à travers les continents. Cette fois-ci, la guerre aura raison de plus de 60 millions de personnes dont près de 6 millions, enfants et bébés inclus, furent exterminées parce qu’elles étaient juives.
Puis en 1958, en seulement quatre ans, le plus grand meurtrier de masse de l’histoire retranche plus de 45 millions de chinois de sa patrie qui disparaissent à jamais dans des conditions atroces.
L’idéologie communiste continue de prospérer et peu de temps après au Cambodge, un nouveau régime tyrannique éradique près d’un quart de son propre peuple.
Mais à chaque fois, l’homme pense que les horreurs du passé ne se reproduiront plus, il pense qu’elles font partie des livres d’histoire. Et pourtant l’histoire se reproduit encore et toujours. Et aujourd’hui, les meurtres de masses se poursuivent comme hier. Et comme ce fut le cas pour ces régimes meurtriers du XXème siècles, la mort continue de sévir sous les yeux du peuple sans qu’aucune contestation ne parviennent à mettre un terme à sa folie meurtrière. Comme par le passé, la mort frappe de manière légalisée, normalisée, banalisée et les enfants de la nation sont exécutés à la lumière du jour.
Le mal du XXIème siècle se nomme AVORTEMENT. Chaque année plus de 50 millions de bébés sont exécutés dans le ventre de leur mère. Pourtant la technologie disponible aujourd’hui nous permet d’entendre les battements de leur cœur et de voir en images 3D les contours de leur visage, de leurs petits doigts, de leur petit corps. Mais le consensus global a décidé de nommer tous ces bébés avortés “simples tissus fœtaux” (les batailles se gagnent à l’échelle des idées et donc des mots). Et puisque ces tissus ne sont pas humains, alors vendons les (foie, reins, cœur, oeil etc) aux chercheurs biomédicaux qui pourront faire avancer la science grâce aux cellules souches embryonnaires. L'avortement, depuis des décennies, c'est une économie florissante qui se nourrie du sang d'innocents. C’est ainsi que Planned Parenthood (le planning familial aux USA) modifiait ses procédures d’avortement dans le but de récolter des fœtus intacts afin de revendre les organes.
Et pourtant, le sang qui coule dans les veines de tous ces bébés n’est pas celui de leur mère, c’est bien leur propre sang, le sang d'êtres uniques qui n'auront jamais la possibilité de révéler leur beauté aux yeux du monde. Malgré cela, les autorités en place légifèrent en leur défaveur, insistant qu’il ne s’agit que de simple fœtus sans droits ni loi pour les protéger. En France par exemple, celui qui tenterait de s'opposer à l'élimination d'une de ces précieuses vies risque de se voir condamner pénalement à deux ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amendes pour délit d’entrave à l’IVG.
Quand les gouvernements en place participent activement à la mise à mort des innocents, l'histoire se répète et pourtant l'homme reste convaincu que les horreurs du passé ne se reproduiront pas.
Qui peut bien croire que l’homme est foncièrement bon? Qui peut dire de ces tyrans du passé qu’ils sont différents de nous, qu'ils sont indignes? Nous portons tous en nous cette indignité, l’indignité d’être appelé humain, l’indignité d’avoir tous le même sang et pourtant de verser le sang précieux de nos sœurs et de nos frères. Pourtant nous avons l’audace de croire que ceux qui tuent ne sont pas nos semblables.
Quand la mort emporte en si peu de temps des millions d’âmes dans les abysses, on pense que cela ne se reproduira plus, en tout cas pas à cette échelle. Les utopiques appelleront même la Première Guerre Mondiale la guerre qui mettra fin à la guerre.
Ah si seulement l'homme pouvait apprendre de ses erreurs. Ah si seulement...
À partir de 1920, Il n’a fallu que quelques décennies à un dictateur communiste pour envoyer à la mort dans les goulags des millions de compatriotes.
En 1939, un nouveau leader porté par toute une nation entraînera la destruction et le chaos à travers les continents. Cette fois-ci, la guerre aura raison de plus de 60 millions de personnes dont près de 6 millions, enfants et bébés inclus, furent exterminées parce qu’elles étaient juives.
Puis en 1958, en seulement quatre ans, le plus grand meurtrier de masse de l’histoire retranche plus de 45 millions de chinois de sa patrie qui disparaissent à jamais dans des conditions atroces.
L’idéologie communiste continue de prospérer et peu de temps après au Cambodge, un nouveau régime tyrannique éradique près d’un quart de son propre peuple.
Mais à chaque fois, l’homme pense que les horreurs du passé ne se reproduiront plus, il pense qu’elles font partie des livres d’histoire. Et pourtant l’histoire se reproduit encore et toujours. Et aujourd’hui, les meurtres de masses se poursuivent comme hier. Et comme ce fut le cas pour ces régimes meurtriers du XXème siècles, la mort continue de sévir sous les yeux du peuple sans qu’aucune contestation ne parviennent à mettre un terme à sa folie meurtrière. Comme par le passé, la mort frappe de manière légalisée, normalisée, banalisée et les enfants de la nation sont exécutés à la lumière du jour.
Le mal du XXIème siècle se nomme AVORTEMENT. Chaque année plus de 50 millions de bébés sont exécutés dans le ventre de leur mère. Pourtant la technologie disponible aujourd’hui nous permet d’entendre les battements de leur cœur et de voir en images 3D les contours de leur visage, de leurs petits doigts, de leur petit corps. Mais le consensus global a décidé de nommer tous ces bébés avortés “simples tissus fœtaux” (les batailles se gagnent à l’échelle des idées et donc des mots). Et puisque ces tissus ne sont pas humains, alors vendons les (foie, reins, cœur, oeil etc) aux chercheurs biomédicaux qui pourront faire avancer la science grâce aux cellules souches embryonnaires. L'avortement, depuis des décennies, c'est une économie florissante qui se nourrie du sang d'innocents. C’est ainsi que Planned Parenthood (le planning familial aux USA) modifiait ses procédures d’avortement dans le but de récolter des fœtus intacts afin de revendre les organes.
Et pourtant, le sang qui coule dans les veines de tous ces bébés n’est pas celui de leur mère, c’est bien leur propre sang, le sang d'êtres uniques qui n'auront jamais la possibilité de révéler leur beauté aux yeux du monde. Malgré cela, les autorités en place légifèrent en leur défaveur, insistant qu’il ne s’agit que de simple fœtus sans droits ni loi pour les protéger. En France par exemple, celui qui tenterait de s'opposer à l'élimination d'une de ces précieuses vies risque de se voir condamner pénalement à deux ans d’emprisonnement et 30 000€ d’amendes pour délit d’entrave à l’IVG.
Quand les gouvernements en place participent activement à la mise à mort des innocents, l'histoire se répète et pourtant l'homme reste convaincu que les horreurs du passé ne se reproduiront pas.
Qui peut bien croire que l’homme est foncièrement bon? Qui peut dire de ces tyrans du passé qu’ils sont différents de nous, qu'ils sont indignes? Nous portons tous en nous cette indignité, l’indignité d’être appelé humain, l’indignité d’avoir tous le même sang et pourtant de verser le sang précieux de nos sœurs et de nos frères. Pourtant nous avons l’audace de croire que ceux qui tuent ne sont pas nos semblables.