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Annexe I. Quand l'idéologie évolutionniste se retrouve en grande difficulté face à la science. 
​  Nous avons vu que la théorie de l’évolution répondait parfaitement aux critères du domaine de la croyance et non pas de la science. Les suppositions qu’elle avance comme des faits ne sont que des hypothèses qui ne pourront jamais être vérifiées puisqu’elles concernent des événements du passé. Elles ne peuvent donc pas être testées ou observées dans le présent ni être répétées ou vérifiées et resteront donc à jamais de simples suppositions.

  Avant d’identifier quelques éléments factuels qui mettent à mal l’idéologie évolutionniste, idéologie qui s’étend à divers domaines scientifiques dits historiques (tels que la géologie, la cosmologie, la paléontologie ou la biologie), rappelons que la science historique tente de comprendre le passé et donc n’a pas la même valeur que  la science de l’observation telles que la physique, la chimie ou la micro-biologie par exemple. ​

  À l’appui des éléments accablants qui vont suivre, vous vous demanderez peut-être pourquoi les évolutionnistes continuent de s’attacher à leur théorie. Ont-ils des preuves irréfutables qui respectent la méthodologie scientifique (observations, identification, description, test, expérience, théorie pouvant expliquer le phénomène)? Non! Tout simplement ils s’attachent à un système de pensées, à leurs croyances, parce qu’ils veulent à tout prix que l’évolution existe. Et pour cela, ils y mettent tout leur zèle, toute leur dévotion comme le professeur William B. Provine a pu le faire par le passé (il  était professeur à l’université de Cornwell aux États-Unis et enseignait l’histoire de la science et de la biologie de l’évolution).

“Quand tu meurs, tu ne seras pas surpris parce que tu seras complètement mort. Maintenant, si je me retrouve conscient après ma mort, ça me surprendrait énormément! Mais au moins je serai en enfer, où je n’aurai plus tous ces prédicateurs du dimanche matin. Laissez-moi vous récapituler ma vision de ce que la biologie moderne de l’évolution nous dit de manière claire et limpide, et je dois vous dire que c’est également la vision de Darwin. Il n’y a pas de dieux, aucune puissance donnant du sens, pas de vie après la mort. Quand je meurs, je suis certain que je serai complètement mort. C’est tout, ce sera la fin, tout simplement. Il n’y a pas de fondations ultimes pour l’éthique, pas de sens à la vie, pas de libre arbitre pour les humains non plus.”

Géologie et longue périodes de temps


  • Pour  un géologue évolutionniste, chaque strate aurait un âge en millions d’années pourtant ce n’est que récemment que la datation radiométrique prétend pouvoir dater précisément une roche. Alors comment est-ce que les géologues du XIXème siècle ont pu dater les strates rocheuses alors qu’ils n’avaient pas les outils nécessaires entre leurs mains si ce n’est en se basant sur leurs suppositions et leurs croyances?
  • Les géologues utilisent un raisonnement circulaire pour dater leurs strates rocheuses en partant de la supposition que les formes de vie simple se trouvent dans les strates les plus basses, et les formes les plus complexes se trouvent dans les strates les plus hautes. Ainsi ils concluent que tel fossile est plus vieux que celui-là car plus complexe. Et puisqu’il se situe dans telle strate, cette strate rocheuse a tel âge. Et si l’on trouve tel fossile dans telle strate alors cette couche rocheuse a tel âge.  Et lorsqu’un géologue envoie un échantillon à un laboratoire pour une datation, on lui demande dans quelle strate il a été découvert, ainsi le laboratoire sait à l’avance dans quelle tranche d’âge il va pouvoir estimer l’âge de l’échantillon.
  • Les estimations de l’âge de la terre sont passées de quelques centaines de millions d’années à l’époque de Darwin à 4,5 milliards d’années à ce jour. À ce rythme là, il est difficile de savoir si l’homme arrivera un jour à prédire un âge définitif.
  • Si chaque strate s’est formée localement et lentement, alors comment expliquer ces nombreux fossiles polystrates  (comme ces arbres pétrifiés) qui traversent plusieurs strates et donc qui traverseraient prétendument des millions d’années sans aucune déterioration? 
  • Si chaque strate correspond à une période bien définie et qu’il y a eu une évolution géologique graduelle qui a pris place sur des milliards d’années, alors comme les évolutionnistes le prétendent, toutes les strates rocheuses se succèdent dans un ordre bien précis. Et donc si vous allez étudier une carrière rocheuse dans l’Indiana par exemple, où entre les strates de l’ère Ordivician et l’ère Denovian vous ne trouvez pas l’ère Silurian, vous vous demanderez où ont bien pu disparaître 25 millions d’années sans laisser aucune trace d’érosion ou de dépôt. Seulement quelques millimètres séparent les strates du Dénovian et de l’Ordivician dans cette carrière, sinon il s’agit de la même structure, de la même couleur. C’est là que les évolutionnistes créent des termes pour combler les lacunes de leur théorie: la paraconformité. 
  • Les termes imaginaires inventés par les évolutionnistes existent également pour les fossiles qui ont été découverts là où ils ne devraient pas être. Un fossile trouvé trop bas dans les colonnes géologiques est appelé une “fuite stratigraphique”; un fossile trouvé trop haut, un “specimen retravaillé”.

  • L’éruption volcanique du Mont St Helens dans l'état de Washington aux États-Unis qui eut lieux en 1980 nous raconte la vraie histoire de la terre et même les géologues évolutionnistes ont dû commencer à revoir leur théorie de l'uniformité. Un événement dévastateur (et non pas des millions d'années) suffit pour changer radicalement le paysage, creuser un canyon profond de 46 mètres (lors d'une seconde éruption en 1982), entasser des sédiments de près de 200 mètres de profondeur en moins d'une journée, quasiment doubler la taille d'un lac suite au dépôt de débris au fond de ses eaux et voir des couches de sédiments s'entasser les unes par dessus les autres. 
  • Des échantillons de lave du dôme ont été prélevés et envoyés à un laboratoire. L’âge de cette roche fraîchement formée fut estimée à 2,8 millions d’années. En Nouvelle Zélande, des roches formées lors d’éruptions volcaniques datant de 1949, 1954 et 1975 furent également estimées à plusieurs millions d’années. Dans ces conditions pourquoi accepterions-nous les estimations de roches dont nous ne connaissons pas l’âge alors que la datation radiométriques ne fonctionne même pas pour des roches récentes dont l’âge est connu?

  • Alors que le carbon-14 ne peut être détecté que dans des échantillons estimés à quelques dizaines de milliers d'années tout au plus, on en retrouve pourtant dans des matériaux dont l'âge estimé par les évolutionnistes s'étend à des centaines de millions d'années. On retrouve ainsi à la surprise générale du carbon-14 dans:
    • du charbon
    • des fossiles
    • des diamants
    • des arbres pétrifiés
​
  • Les datations radiométriques ne sont pas des valeurs absolues car elles reposent sur de nombreuses suppositions dont la principale, l’uniformitarisme. Cette idéologie affirme que le présent explique le passé et que la désintégration radioactive a toujours été constante. Mais est-ce que la désintégration radioactive à toujours été constante depuis la formation de la roche? Y a-t-il eu une contamination de la roche? Quelle était la quantité d’éléments radioactifs au départ?
  • Deux exemples concrets pour visualiser pourquoi on ne peut pas accepter les datations radiométriques comme des valeurs absolues:
    1. Si on voit une bougie allumée, qui peut dire depuis combien de temps elle brûle? Seulement la personne qui l’a allumée puisqu’elle est la seule à connaître sa composition d’origine et les événements qui auraient pu affecter la manière dont elle s’est consumée. 
    2. Pour un sablier, nous avons la même problématique. Qui peut garantir que l’écoulement s’est toujours fait de manière constante? Qui peut garantir la quantité de sable qu’il y avait au départ et celle qui se trouvait au fond?
  • Il en va de même pour une pierre. On ne peut pas donner son âge à moins, comme pour le cas d’un diamant synthétique, de l’avoir fabriqué soi-même ou comme pour les éruptions volcaniques récentes, de les avoir vus se former sous nos yeux. 

  • Le Grand Canyon et ses évidences contre une formation sur des millions d'années
    • La présence de fossiles est l’évidence d’un ensevelissement et d’une fossilisation rapide.
    • Les strates rocheuses du grand Canyon ne montrent aucune trace d’érosion et certaines couches ont été tordues dans le même sens comme du ciment frais. Seulement des couches tendres et mouillées  ont pu être tordues dans ce sens. 
    • On retrouve de la lave au sommet du Grand Canyon et la même lave au fond du canyon.
 
​  Avec tous ces éléments en défaveurs de l’idéologie d’une évolution géologique sur des milliards d’années, nous pouvons conclure que les colonnes de temps géologiques ne sont pas réelles mais simplement le fruit d’un système arbitraire produit par des géologues évolutionnistes. La terre est jeune et seul un déluge globale a pu bouleverser autant ses paysages.

Les fossiles en défaveur de la théorie de l'évolution


  • Pour qu’un fossile se forme, il ne faut pas des millions d’années, mais beaucoup d’eau et des conditions favorables (enfouissement rapide dans des sédiments). Beaucoup de temps ne peut pas créer des fossiles puisque tout élément organique finirait par pourrir ou être mangé par des carnivores. 
  • Les fossiles que nous retrouvons sont toujours des espèces complètement formées. Il n’existe pas de chaînon manquant ni de forme transitionnelle entre deux espèces. Et certaines formes de fossiles disparaissent parfois aussi subitement qu’elles sont apparues.
  • Aujourd'hui les musées sont remplis de centaines de millions de fossiles de plus de 250 000 espèces différentes (plantes et animaux) et il n'existe aucune transition entre les organismes mettant à jour une quelconque forme d'évolution. Les musées d'histoire naturelle le savent et pourtant ils continuent de présenter la théorie de l'évolution dans leur galeries comme un fait alors que les fossiles qu'ils ont en leur possession invalide leur théorie.
  • Certaines espèces que les évolutionnistes proclamaient avoir disparu depuis des millions d’années (puisqu’il n’y avait plus de trace de fossiles dans les strates supérieures) sont bien encore en vie.
    1. Le coelacanth a été retrouvé en vie en 1938 dans l’océan indien, et contrairement à ce que les paléontologues évolutionnistes prétendaient, il ne s’agissait pas d’une forme intermédiaire entre les poissons et les amphibiens. Les coelacanths n'étaient que de simples poissons, sans  aucun membre leur permettant de ramper sur la terre. 
    2. En 1994, le pin Wollemi, une variété d’arbre apparemment éteinte, fut l’équivalent de la découverte d’un dinosaure vivant.
  • L’Archaeopteryx finalement n’était qu’un oiseau et non pas le chaînon manquant entre les dinosaures et les oiseaux. Et plus embêtant encore pour les évolutionnistes, la découverte au Kirghizistan du Longisquama, un autre oiseau encore plus ancien, plus ancien même que certains dinosaures qui logiquement ne peuvent donc pas être les ancêtres des oiseaux. Mais comme les évolutionnistes veulent croire à tout prix que les dinosaures ont évolué en oiseaux, ils ont fini par trouver en 1999 un Archaeoraptor, un fossile mi-oiseau, mi-dinosaure. National Geographic s'empressa de publier la découverte. Et peu de temps après il s’avéra qu’il s’agissait d’une fraude, comme bien souvent lorsque les évolutionnistes prétendent avoir découvert un chaînon manquant. Ce fossile trouvé en Chine, et acheté par un musée au Utah pour 80 000$ à un vendeur anonyme, n’était qu’un fossile de dinosaure collé à un fossile d’oiseau. 
  • Comme les évolutionnistes veulent à tout prix croire en leur théorie, les fraudes ne sont pas rare. Prenez l'exemple du fameux Piltdown Man retrouvé en 1912. Ce fossile retrouvé en Angleterre était représenté à travers le monde comme étant la forme de transition entre le singe et l'homme. Il a fallu attendre plus de 40 ans pour qu'en 1953, l'évidence soit révélée. Le crâne appartenait à un humain et la mâchoire et les dents à un orang-outan.
  • Le Dr Mary Schweitzer a retrouvé par erreur du tissus mou dans un ossement de T. Rex fossilisé. Après l’avoir durement critiquée en mettant en doute sa publication, les évolutionnistes ont dû se faire à l’évidence. Aujourd’hui on a retrouvé dans de nombreux ossements fossilisés de dinosaure des tissus mous et composants organiques (desquels on a pu extraire des cellules sanguines, des acides aminés). Depuis ces découvertes révolutionnaires qui contredisent l’âge donné à ces fossiles (pour certains soit disant âgés de centaines de millions d’années), les évolutionnistes tentent d’avancer des processus miraculeux de préservation de ces tissus mous.
  • Comme les évolutionnistes refusent un âge jeune aux dinosaures, ils n’effectuent pas de test au Carbon 14 sur des fossiles qu’ils pensent avoir des millions d’années. Des scientifiques créationnistes ont quant à eux envoyé de nombreux échantillons à des laboratoires indépendants et du C14 a été retrouvé (diplodocus, stegosaurus, paddlefish, fragments d’oeufs et plus d’une vingtaine d’autres fossiles de dinosaures) confirmant un âge non pas de dizaines de millions d’années mais tout au plus de dizaines de milliers d’années.
  • On retrouve de nombreux mammifères (qui ressemblaient à nos écureuils et castors modernes par exemple) mixés avec des fossiles de dinosaures. On a même retrouvé un mammifère fossilisé de type Diable de Tasmanie (R. Robustus specimen) avec des restes de dinosaures (Psittacosaurus) fossilisés dans son ventre.
  • Dans les strates pré-cambriennes (plus vieilles couches rocheuses de la terre présumées vieilles de plus de 3 milliards d’années), on retrouve des formes de fossiles très complexes alors que la théorie de l’évolution parle d’une évolution graduelle allant de formes simples vers des formes plus complexes. Et donc les évolutionnistes proclament que les premières formes de vies simples ne peuvent tout simplement plus être trouvées à cause de l'érosion.

  • Déluge et catastrophe globale et soudaine
    • On retrouve des fossiles par milliards sur toute la planète et même des fossiles marins sur les chaînes de l’Himalayas. 
    • Les nombreux cimetières de fossiles (dont certains sont brisés et enchevêtrés) prouvent qu’il y a eu une catastrophe soudaine, non pas que la terre à des millions d’années. D'ailleurs certains fossiles ont même été retrouvés en train de dévorer leur proie.
    • Par endroit, des milliards de nautiles fossilisés dans des couches s'étendant sur des centaines de kilomètres.
    • des trillions de tonnes de végétations enfouies dans les lits de charbon à travers le monde.
    • De nombreuses traces d’empreintes fossilisées allant dans la même direction sont l’évidence d’une tentative d’échapper à une montée rapide des eaux. Ces traces de dinosaures fuyant les eaux indiquent qu’ils devaient tantôt nager tantôt marcher sur des sols boueux en fonction de leur taille.
    • Il est commun de retrouver des animaux marins et non marins ensevelis ensemble. Comment peuvent-ils être retrouvés ensemble si ce n'est à cause d'un événement catastrophique ayant engendré un tsunami par exemple?
    • On retrouve de nombreux arbres fossilisés à travers plusieurs couches et dans une position verticale.
    • Des couches de roches similaires se retrouvent à différents endroits du globe.

  Avec tous ces éléments en vue, le constat que nous pouvons tirer de l’observation des fossiles, c’est qu'il n'existe aucune forme de transition entre les espèces. Au contraire, elles apparaissent toutes soudainement. Et ces milliards de fossiles nous parlent d’un événement catastrophique globale qui a détruit une grande partie du vivant. Pour qu’un fossile existe, il ne faut pas beaucoup de temps mais beaucoup d’eau et les bonnes conditions de sédimentation. Et après investigations, ces fossiles n’ont pas des millions d’année. Les roches et les fossiles nous parlent du déluge biblique.

Micro-biologie et biochimie


  • Les espèces, quoique pouvant varier, sont immuables. Un humain ne fera qu’un humain, un chien ne fera qu’un chien.
  • L’origine des traits liés à la reproduction sexuelle est un mystère pour l’évolutionniste qui n’a aucune réponse quant à la sexualité et le genre mais surtout comprend qu’il y a un paradoxe insolvable par rapport à la sélection naturelle et la préservation des meilleurs gènes pour survivre. Pourquoi évoluer d’organismes capables de se reproduire seuls (organismes asexués comme les bactéries prokaryotes qui seraient prétendument nos ancêtres) à des organismes sexués qui prennent le risque de partager leurs gènes?
  • Le pôle génétique de chaque espèce permet une grande variété en fonction de ses allèles. Pour autant au sein de chaque espèce, le pôle génétique reste le même et ne permet pas la possibilité de créer une espèce différente avec des traits différents.
    • Par exemple les ours peuvent avoir différentes couleurs, tailles, longueurs de poils. Mais ils restent des ours.
    • Le généticien et rancher argentin Julio Falabella n’a pas eu besoin de l’évolution ou des mutations pour obtenir un étalon miniature qui lui arrivait à hauteur de genoux. Pour obtenir cette variété, il a simplement sélectionné différents chevaux (qui rappelons-le avaient tous le même pôle génétique).
    • Les chiens, les loups, les dingos, les coyotes etc sont tous issus d’un premier couple de Canis Lupus. Et lorsque l’on observe toutes ces différentes races de chiens, force est de constater qu’il n’a fallu à l’homme que quelques centaines d’années pour arriver à une telle variété, non pas des millions d’années. Et puisqu’à chaque reproduction, le pôle génétique se détériore, des croisements de chihuahuas ne pourront plus jamais permettre de revenir en arrière et de créer un loup malgré qu’il soit leur ancêtre.

  • L’adaptation existe naturellement dans chaque pôle génétique de chaque espèce et il n’y a aucune évidence que la sélection naturelle ait un rôle à jouer là dedans. Demandez à n’importe quel évolutionniste de vous donner quelques exemples de mutations qui ont généré une information nouvelle dans un pôle génétique et comme lorsque la question a été posée à Richard Dawkins, leur réponse sera un long silence. Tout d’abord les mutations sont rares mais en plus elles sont généralement soit neutres soit néfastes. Une mutation ne permettra jamais de produire de nouveaux organes, de nouvelles fonctionnalités ou de nouveaux traits génétiques.
  • La sélection naturelle n’est pas un processus qui permet d’améliorer les espèces; au mieux elle permet simplement de ralentir la dégénérescence génétique de chaque espèce. La sélection naturelle n’explique pas l’origine des espèces mais simplement leur préservation.
  • Au contraire seule une création spéciale peut expliquer l’existence au départ des traits génétiques présents dans chaque organisme et qui sont à l’origine de toute variation et adaptation.

  • Le dénominateur commun de tout organisme vivant se trouve dans ses cellules: l’information. S’il n’y a pas eu un acte de création au préalable, comment est-ce que l’information a pu être encodé dans le génome? L’information ne peut pas apparaître spontanément dans la matière.  Dans le monde que nous observons tous les jours et ce depuis que l'homme existe, l’information procède toujours de l’intelligence. Et dans le monde organique, l’ADN et les protéines sont la base de tout système vivant.
  • La cellule qui contient l’ADN est un miracle de la nature d’une complexité déconcertante. Aujourd’hui nous savons qu’une cellule est une machine moléculaire. Et pour une cellule classique, il faut plus de 10 millions de millions de molécules. Mais aucun composant d’une cellule n’a en lui ce qu’il faut pour donner la vie. C’est le tout qu’ils forment ensemble au sein d’une même cellule qui fait d’eux un organisme vivant. 
    • Un exemple concret pour illustrer ce propos serait l’avion. Aucun composant d’un avion ne peut voler par lui-même, ni une aile, ni le moteur. Mais c’est la créativité de l’homme qui permet à chacun des composants de former un tout qui une fois assemblé correctement peut enfin voler.

  • Mais une cellule, c’est encore plus que des molécules, c’est la base de la vie avec son ADN et la fabrication de protéines. La cellule contient l’ADN qui est comme l’alphabet génétique. Mais pour créer une protéine (un assemblage d’acides aminés) il faut plus qu’un alphabet, il faut un code génétique. Et c’est là qu’entrent en jeu les ribosomes, l’ARN et les enzymes. Et que sont les ribosomes et les enzymes? Ce sont des protéines. Donc pour qu’une cellule fabrique des protéines elle a besoin de protéines. 

  • L’expérience de Miller-Urey effectuée dans les années 1950, qui aurait permis la “création” d’acides aminés, devait convaincre le monde entier de la possibilité d’une création spontanée. Et effectivement beaucoup ont cru et continue de croire grâce à cette expérience que la vie peut apparaître naturellement. Mais pour conduire cette expérience vers le succès, il a fallu que Miller soustrait l’oxygène de l’équation en attestant contre toute évidence scientifique que l’atmosphère primordial était libre d’oxygène (sans parler de toutes les autres actions humaines nécessaires pour la survie de ces quelques acides aminés). Et pourquoi? Tout simplement parce que l’oxygène avec ses propriétés oxydantes aurait détruit la molécule qu’il tentait de créer. Et donc ce que cette expérience a démontré c’est que la philosophie naturaliste et matérialiste étaient l’idéologie dominante de la sphère académique. Voilà pourquoi cette expérience est encore aujourd’hui présentée dans les manuels scolaires comme étant une preuve de l’évolution et de l’origine de la première cellule vivante. Et pourtant, dans le monde empirique de la véritable science, personne ne sait comment la vie est apparue. 

  • D’autres difficultés pour la théorie de l’évolution, ce sont ces organismes complexes tels que les plumes, l’oeil, le cerveau et tant d’autres. Comment expliquer leur origine?
    • Si nous prenons par exemple le cas d’un flagelle, cette structure qui permet à certaines cellules de se déplacer (comme le flagelle d’un spermatozoïde qui étonnamment l'emmène toujours là où il faut), nous découvrons un organisme extraordinaire. Sa complexité n’a pas encore été totalement élucidée mais ce que nous savons pour le moment est déjà assez spectaculaire. Par exemple les bactéries ont un flagelle qui est construit (à base de protéines) tel un moteur moléculaire. Il propulse la bactérie à 10 000 tours minutes et peut instantanément repartir dans l’autre sens à la même vitesse.  Howard Berg de l’université d’Harvard parle du moteur le plus efficace de l’univers.

  Grâce  à la micro-biologie et la biochimie, la science n’a jamais été aussi loin du but tant désiré des évolutionniste, à savoir pouvoir expliquer l’apparition de la première cellule vivante à partir de réactions chimiques spontanées. Au contraire, les avancées technologiques ne cessent de nous révéler l’évidence, plus nous plongeons nos yeux dans l’infiniment petit, plus la complexité des organismes vivants nous sidère. Aujourd’hui, nous savons que la cellule est une machine d’une complexité incomparable. N’importe quelle usine high-tech de la Silicon Valley pâlit en comparaison d’une simple cellule humaine. La chimie, voilà l’ennemi utlime de l’évolution qui continue de croire en une création naturelle et spontanée malgré les évidences.

Mathématiques et probabilités


  Les mathématiciens sont aussi par nature circonspects face à la théorie de l’évolution qui proclame que rien peut devenir quelque chose et qu’un peu de chance et beaucoup de temps suffisent à expliquer l’origine de la vie. Les probabilités contredisent la théorie de l’évolution puisque la loi des probabilités établit qu’un événement n’aura jamais lieu si ses chances de survenue sont inférieur à 1 X 10 puissance -50.

  • Walter Bradley (PhD en science) et Charles Thaxton (PhD en chimie) ont calculé la probabilité qu’un processus naturel puisse former une protéine moyenne (assemblage d’au moins 300 acides aminés) et la probabilité serait de 4,9 X 10 puissance -191. Et une protéine n’est encore en rien une cellule vivante.
  • Sir Fred Hoyle (PhD en astronomie) et Chandra Wickramasinghe (professeur en astronomie et en mathématiques appliqués) ont calculé la probabilité d’obtenir une cellule de matière naturelle et les chiffres sont encore plus dramatiques pour la théorie de l’évolution: 1 X 10 puissance -40 000.

Cosmologie


  La théorie du Big Bang affirme que l’univers est en expansion et doit son existence à une explosion qui a eu lieu il y a près de 14 milliards d’années lors d'un événement appelé une singularité.

  • Il n’existe aucune expérience au monde qui puisse créer quelque chose à partir de rien. Et pourtant la cosmologie propose un modèle de création avec une singularité appelé le Big Bang où de rien est apparu tout ce que nous voyons aujourd’hui. Mais cette théorie n’explique pas ce qu’est cette singularité, ni ce qui la précède, ni encore moins ce qui l’aurait déclenchée.
  • Encore plus étonnant, alors que nous n’arriverons jamais à atteindre les extrémités de l’univers, le Big Bang avance  pourtant l’existence d’un point 0 sans taille ni espace, d’où aurait explosé tout ce que nous connaissons, la masse, l'énergie, le temps, l'espace.
  • La création viendrait d’une explosion et pourtant personne n’a jamais vu ou réussi à reproduire une explosion créant autre chose que le chaos.
  • Puisque les gaz se répandent, comment est-ce que les étoiles ont pu se développer progressivement? Pourtant la théorie évolutionniste avance leur existence par l’assemblage de gaz.
  • Les explosions d’astres auraient permis la création de la terre. Pour autant il n’y a aucune théorie concluante concernant cette création. Pour donner un âge à la terre, les évolutionnistes ont simplement estimé l’âge moyen de météorites et l’ont ensuite extrapolé à l’âge de la terre.
  • Si l’univers est en expansion depuis 14 milliards d’années, alors il n’y a pas eu assez de temps pour que tous les points dans l’univers aient la même température. Pourtant les rayons cosmiques qui nous parviennent de l’espace sont uniformes peu importe leur direction. Comme souvent les évolutionnistes ont du fabriquer un modèle pour expliquer ce paradoxe, un modèle qui ne se base sur aucune évidence scientifique. Et donc pour contrer le fameux problème de l’horizon, ils ont inventé le modèle de l’inflation. En plus d’y avoir eu un Big Bang inexplicable, nous avons maintenant également plusieurs phases avec une expansion rapide suivie d’une deuxième expansion encore plus rapide puis une dernière phase qui ramène l’expansion à son taux normal. Cette théorie permettrait d'uniformiser la température dans l'espace.
  • La lune s’éloigne de la terre chaque année de quelques centimètres. Si on revient dans le temps en se basant sur la théorie de l'uniformitarisme si chère aux évolutionnistes, alors il y a 1,4 milliards d’années, la lune et la terre se touchaient déjà pourtant les évolutionnistes nous disent que la terre et la Lune ont environ 4,5 milliards d’années.

  La Bible mentionne à plusieurs reprises que Dieu a étendu les cieux (Genèse 1,7; Esaie 40,22; Job 9,8) mais  indique surtout sans aucun ambiguïté que la terre a été créée en 6 jours et les généalogies qui suivent et d’autres éléments historiques permettent d’affirmer une terre jeune d’environ 6000 ans. 

De nombreux autres éléments restent totalement inexplicables, incompréhensibles voir paradoxales à la lumière de l’idéologie naturaliste de la théorie de l’évolution. En voici donc quelques-uns qui vous permettront d’étendre encore plus votre réflexion sur le sujet.
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Lois de la nature et réalités immatérielles qui n’ont pas d’explication matérielle

Le temps, l’espace, le son, la lumière, la gravité, la force et l’énergie, la conscience, la mort, les sensations, l’amour, la moralité, la beauté et l’art.
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