En regardant le film turc Yedinci Kogustaki Mucize, on ne peut s’empêcher de pleurer en pensant à notre nature humaine, à la violence et à cette terre de poussière et de souffrance. Deux thèmes centraux m’ont beaucoup fait réfléchir dans cette véritable oeuvre d’art qui redonne du sens au cinéma. Deux éléments si profondément ancrés dans notre humanité que personne ne peut fermer les yeux sur la réalité de ce que nous sommes vraiment.
Il y a l’orgueil et il y a l’injustice.
Et personne ne peut s’en défaire. Jusqu’à notre dernier souffle, jusqu’à ce que Jésus Christ revienne enfin nous revêtir de cet habit blanc, nous ne pourrons jamais parfaitement nous défaire de ce qui définit notre nature humaine depuis que le péché a corrompu ce que Dieu avait créé de plus beau, Adam et Eve.
Genèse 3. "Vous serez comme des dieux."
Je suis sur que même le plus grand des activiste athée (et il y’en a de plus en plus) qui lutte contre la foi et la religion affirmant simplement se battre contre l’obscurantisme, sait tout au fond de son cœur que Dieu existe. Je pense même que beaucoup d’entre-eux ne luttent pas contre la religion mais secrètement contre Dieu lui-même. Il n’y a qu’à voir tous ces hommes et femmes qui ont grandi dans l’église, qui ont pour certains même été des leaders chrétiens pendant des années avant de renier leur foi pour ensuite mener un combat contre la vérité, contre l'église de Christ. Ils proclament aujourd’hui à voix haute que Dieu n’a jamais existé, notre seule réalité étant la matière. Même nos émotions, l’amour, les sentiments ne sont que des réactions chimiques produites par notre cerveau dont la seule utilité est de permettre notre survie dans un monde où la sélection naturelle et le hasard sont les deux seules réalités.
Pourtant giflez n’importe quel homme en publique et personne ne vous dira que l’humiliation qu’il ressent n’est qu’une réaction chimique. L’orgueil qui nous habite, voilà une réalité que même un athée sait au fond de son cœur qu’elle n’est pas liée à son corps ou à sa matière grise. L’orgueil est une réalité spirituelle si puissante et dévastatrice qu’en 6000 ans d’histoire, l’homme a transformé ce que beaucoup considèrent à tort comme une simple désobéissance en une multitude de péchés, tous plus destructeurs les uns que les autres.
Quand l’homme se défait de l’autorité suprême de son créateur, la course à la première place est sans limite. Et depuis Caïn, le premier à être naît pécheur, la nature de l’homme est vendue à la mort sans qu’on ne puisse rien y changer. Ah l’orgueil, cette folie qui nous pousse à détruire notre prochain, voir même à nous auto-détruire; qui peut se lever en affirmant qu’il a trouvé le secret pour vaincre par ses propres forces?
Les attentes, les rêves de grandeur, vouloir être quelqu’un, refuser l’aide, toujours montrer son plus beau visage, vouloir toujours plus, l’ambition de devenir cet homme ou cette femme respecté et craint par ses pairs, cette personnalité connue et reconnue de tous, devenir plus que ses semblables, vouloir le pouvoir, dominer, accéder à ces hauteurs où les regards se tourneront vers nous avec envie et admiration, ou bien réclamer simplement ce statut que nous méritons bien, après tout…
L’orgueil, voilà un trait de caractère qui est ancré si profondément en nous depuis la chute d’Adam que toute notre vie, nous aurons à lutter contre cette envie d’être ce que nous ne sommes pas, à lutter pour ne pas chercher à obtenir ce qui n'est pas à nous, lutter pour ne pas vivre pour notre propre gloire. Et même si nous avons placé notre foi en Jésus, la lutte ne s’arrête pas pour autant. Il suffit de regarder aux disciples qui jusqu’au dernier jour se disputaient l’éminence. Sincèrement, qui d’entre-nous aurait laissé le Christ lui laver les pieds?
Il y a l’orgueil et il y a l’injustice.
Et personne ne peut s’en défaire. Jusqu’à notre dernier souffle, jusqu’à ce que Jésus Christ revienne enfin nous revêtir de cet habit blanc, nous ne pourrons jamais parfaitement nous défaire de ce qui définit notre nature humaine depuis que le péché a corrompu ce que Dieu avait créé de plus beau, Adam et Eve.
Genèse 3. "Vous serez comme des dieux."
Je suis sur que même le plus grand des activiste athée (et il y’en a de plus en plus) qui lutte contre la foi et la religion affirmant simplement se battre contre l’obscurantisme, sait tout au fond de son cœur que Dieu existe. Je pense même que beaucoup d’entre-eux ne luttent pas contre la religion mais secrètement contre Dieu lui-même. Il n’y a qu’à voir tous ces hommes et femmes qui ont grandi dans l’église, qui ont pour certains même été des leaders chrétiens pendant des années avant de renier leur foi pour ensuite mener un combat contre la vérité, contre l'église de Christ. Ils proclament aujourd’hui à voix haute que Dieu n’a jamais existé, notre seule réalité étant la matière. Même nos émotions, l’amour, les sentiments ne sont que des réactions chimiques produites par notre cerveau dont la seule utilité est de permettre notre survie dans un monde où la sélection naturelle et le hasard sont les deux seules réalités.
Pourtant giflez n’importe quel homme en publique et personne ne vous dira que l’humiliation qu’il ressent n’est qu’une réaction chimique. L’orgueil qui nous habite, voilà une réalité que même un athée sait au fond de son cœur qu’elle n’est pas liée à son corps ou à sa matière grise. L’orgueil est une réalité spirituelle si puissante et dévastatrice qu’en 6000 ans d’histoire, l’homme a transformé ce que beaucoup considèrent à tort comme une simple désobéissance en une multitude de péchés, tous plus destructeurs les uns que les autres.
Quand l’homme se défait de l’autorité suprême de son créateur, la course à la première place est sans limite. Et depuis Caïn, le premier à être naît pécheur, la nature de l’homme est vendue à la mort sans qu’on ne puisse rien y changer. Ah l’orgueil, cette folie qui nous pousse à détruire notre prochain, voir même à nous auto-détruire; qui peut se lever en affirmant qu’il a trouvé le secret pour vaincre par ses propres forces?
Les attentes, les rêves de grandeur, vouloir être quelqu’un, refuser l’aide, toujours montrer son plus beau visage, vouloir toujours plus, l’ambition de devenir cet homme ou cette femme respecté et craint par ses pairs, cette personnalité connue et reconnue de tous, devenir plus que ses semblables, vouloir le pouvoir, dominer, accéder à ces hauteurs où les regards se tourneront vers nous avec envie et admiration, ou bien réclamer simplement ce statut que nous méritons bien, après tout…
L’orgueil, voilà un trait de caractère qui est ancré si profondément en nous depuis la chute d’Adam que toute notre vie, nous aurons à lutter contre cette envie d’être ce que nous ne sommes pas, à lutter pour ne pas chercher à obtenir ce qui n'est pas à nous, lutter pour ne pas vivre pour notre propre gloire. Et même si nous avons placé notre foi en Jésus, la lutte ne s’arrête pas pour autant. Il suffit de regarder aux disciples qui jusqu’au dernier jour se disputaient l’éminence. Sincèrement, qui d’entre-nous aurait laissé le Christ lui laver les pieds?
Jean 13
1 Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue de passer de ce monde au Père, et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, mit le comble à son amour pour eux. 2 Pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au coeur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer, 3 Jésus, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu'il était venu de Dieu, et qu'il s'en allait à Dieu, 4 se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit.
5 Ensuite il versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. 6 Il vint donc à Simon Pierre; et Pierre lui dit: Toi, Seigneur, tu me laves les pieds! 7 Jésus lui répondit: Ce que je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt. 8 Pierre lui dit: Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit: Si je ne te lave, tu n'auras point de part avec moi. 9 Simon Pierre lui dit: Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête. 10 Jésus lui dit: Celui qui est lavé n'a besoin que de se laver les pieds pour être entièrement pur; et vous êtes purs, mais non pas tous. 11 Car il connaissait celui qui le livrait; c'est pourquoi il dit: Vous n'êtes pas tous purs.
12 Après qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut pris ses vêtements, il se remit à table, et leur dit: Comprenez-vous ce que je vous ai fait? 13 Vous m'appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis. 14 Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; 15 car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. 16 En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé. 17 Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez.
Jésus par sa grâce et son sacrifice nous a purifié. Pourtant, chaque jour nous devons encore nous laver les pieds, parfois laisser quelqu’un d’autres nous les laver et malheureusement cette poussière qui s’accroche si facilement à nous porte bien souvent le nom d’orgueil. La vie chrétienne est une marche vers la sanctification, une longue marche qui ne prendra fin qu’à notre mort.
Qui n’est pas insatisfait par moment (ou peut-être même tout le temps) de sa situation? Qui n’aimerait pas être quelqu’un à la hauteur de son talent, de ses ambitions? Qui n’a jamais été consumé de l’intérieur à cause de ses attentes? Qui n’a jamais eu une opinion de lui-même un peu trop élevé? Qui n’a jamais voulu rendre le mal pour le mal? Qui n’a jamais laissé la colère remplir son cœur? Qui n’a jamais voulu rendre sa propre justice?
C’est ici que nous en venons à cette deuxième réalité encore plus criante et visible, à savoir l’injustice.
L’injustice est partout sur cette terre, elle soupire à chaque recoin, elle prend tant de formes différentes au grès des inventions diaboliques de l’homme que même le cœur de Dieu en fut affligé. Et aujourd’hui on ne compte plus les enfants qui n’ont même plus assez de larmes pour pleurer. Non sans raison, le thérapeute canadien Gordon Neufeld parle souvent de cette nouvelle génération comme de la génération des enfants qui ne pleurent plus.
Qui n’est pas insatisfait par moment (ou peut-être même tout le temps) de sa situation? Qui n’aimerait pas être quelqu’un à la hauteur de son talent, de ses ambitions? Qui n’a jamais été consumé de l’intérieur à cause de ses attentes? Qui n’a jamais eu une opinion de lui-même un peu trop élevé? Qui n’a jamais voulu rendre le mal pour le mal? Qui n’a jamais laissé la colère remplir son cœur? Qui n’a jamais voulu rendre sa propre justice?
C’est ici que nous en venons à cette deuxième réalité encore plus criante et visible, à savoir l’injustice.
L’injustice est partout sur cette terre, elle soupire à chaque recoin, elle prend tant de formes différentes au grès des inventions diaboliques de l’homme que même le cœur de Dieu en fut affligé. Et aujourd’hui on ne compte plus les enfants qui n’ont même plus assez de larmes pour pleurer. Non sans raison, le thérapeute canadien Gordon Neufeld parle souvent de cette nouvelle génération comme de la génération des enfants qui ne pleurent plus.
Genèse 6
5 L'Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur coeur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. 6 L'Eternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son coeur. 7 Et l'Eternel dit: J'exterminerai de la face de la terre l'homme que j'ai créé, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel; car je me repens de les avoir faits.
8 Mais Noé trouva grâce aux yeux de l'Eternel.
Genèse 8
20 Noé bâtit un autel à l'Eternel; il prit de toutes les bêtes pures et de tous les oiseaux purs, et il offrit des holocaustes sur l'autel. 21 L'Eternel sentit une odeur agréable, et l'Eternel dit en son coeur: Je ne maudirai plus la terre, à cause de l'homme, parce que les pensées du coeur de l'homme sont mauvaises dès sa jeunesse; et je ne frapperai plus tout ce qui est vivant, comme je l'ai fait.
22 Tant que la terre subsistera, les semailles et la moisson, le froid et la chaleur, l'été et l'hiver, le jour et la nuit ne cesseront point.
L’injustice, elle est autour de nous, dans nos familles, au travail, dans nos villes, dans nos campagnes. Mais surtout elle est en nous. Et si l’homme est parfois capable d’actes de bravoures, il ne fait que pâle figure face à celui qui a subi la plus grande injustice de tous les temps, le Fils de Dieu mort sur une croix. D'ailleurs je peux comprendre que ni les juifs ni les musulmans ne peuvent accepter cette idée d’un homme qui tout en proclamant sa divinité accepte l’injustice et l’humiliation jusqu’à la croix. Même pour la sphère intellectuelle, le concept d’un Dieu qui s’humilie face à sa propre création est insensé. Ce salut par le sang, comment peut-on le comprendre par la raison? Pourtant c’est à ce moment précis que l'on réalise à quel point notre orgueil est auto-destructeur et gravé dans notre cœur.
Alors que l'esprit du monde crie dans les rues: "Vous n'avez pas besoin d’être sauvés, vous avez en vous ce qu’il faut pour atteindre la vie éternelle et obtenir la paix sur terre!", l'homme conduit par l'orgueil refuse de poser ses yeux sur la croix parce qu'il est persuadé que la rédemption comme l'amour s'obtiennent par la force.
Quelle folie!
Toute cette injustice qui nous révolte, elle n’est que le fruit de notre propre folie, celle où l’homme qui ne veut pas de l’autorité de Dieu dans sa vie ni du sacrifice de son Fils détruit tout ce qu’il touche. Et pourtant l’homme cherche la clé du salut et de l'amour véritable, la solution pour se libérer de toute cette souffrance. Mais comment obtenir par la force ce qui ne peut que se donner? Comment l'humilité peut-elle naître en nous alors que nous sommes vendus à l'orgueil? Comment la grâce peut-elle s'offrir à nous alors que nous respirons l'injustice?
Puisque l’exemple du Christ est ce qui doit nous diriger, nous inspirer, nous transformer, voyons de quelle manière il a subi la plus grande injustice de l'histoire de l’humanité, et comment il a détruit à jamais l’orgueil et la mort du péché. Notre société proclame l’indépendance et la loi du talion. Jésus quant à lui a vaincu l’orgueil et l’injustice par l’obéissance et l’humiliation. Quel étrange paradoxe que de voir la Parole éternelle ayant donné naissance à notre existence prendre un corps, acceptant de traverser dans l’obéissance toutes ces horreurs conçues par l’homme, terminant par la plus humiliante des fins que l’humanité n’ait jamais connue triomphant ainsi de la mort.
Alors que l'esprit du monde crie dans les rues: "Vous n'avez pas besoin d’être sauvés, vous avez en vous ce qu’il faut pour atteindre la vie éternelle et obtenir la paix sur terre!", l'homme conduit par l'orgueil refuse de poser ses yeux sur la croix parce qu'il est persuadé que la rédemption comme l'amour s'obtiennent par la force.
Quelle folie!
Toute cette injustice qui nous révolte, elle n’est que le fruit de notre propre folie, celle où l’homme qui ne veut pas de l’autorité de Dieu dans sa vie ni du sacrifice de son Fils détruit tout ce qu’il touche. Et pourtant l’homme cherche la clé du salut et de l'amour véritable, la solution pour se libérer de toute cette souffrance. Mais comment obtenir par la force ce qui ne peut que se donner? Comment l'humilité peut-elle naître en nous alors que nous sommes vendus à l'orgueil? Comment la grâce peut-elle s'offrir à nous alors que nous respirons l'injustice?
Puisque l’exemple du Christ est ce qui doit nous diriger, nous inspirer, nous transformer, voyons de quelle manière il a subi la plus grande injustice de l'histoire de l’humanité, et comment il a détruit à jamais l’orgueil et la mort du péché. Notre société proclame l’indépendance et la loi du talion. Jésus quant à lui a vaincu l’orgueil et l’injustice par l’obéissance et l’humiliation. Quel étrange paradoxe que de voir la Parole éternelle ayant donné naissance à notre existence prendre un corps, acceptant de traverser dans l’obéissance toutes ces horreurs conçues par l’homme, terminant par la plus humiliante des fins que l’humanité n’ait jamais connue triomphant ainsi de la mort.
Marc 27
27 Ils crucifièrent avec lui deux brigands, l'un à sa droite, et l'autre à sa gauche. 28 Ainsi fut accompli ce que dit l'Ecriture: Il a été mis au nombre des malfaiteurs. 29 Les passants l'injuriaient, et secouaient la tête, en disant: Hé! toi qui détruis le temple, et qui le rebâtis en trois jours, 30 sauve-toi toi-même, en descendant de la croix! 31 Les principaux sacrificateurs aussi, avec les scribes, se moquaient entre eux, et disaient: Il a sauvé les autres, et il ne peut se sauver lui-même! 32 Que le Christ, le roi d'Israël, descende maintenant de la croix, afin que nous voyions et que nous croyions! Ceux qui étaient crucifiés avec lui l'insultaient aussi.
Matthieu 26
67 Là-dessus, ils lui crachèrent au visage, et lui donnèrent des coups de poing et des soufflets 68 en disant: Christ, prophétise; dis-nous qui t'a frappé.
Luc 22
63 Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui, et le frappaient. 64 Ils lui voilèrent le visage, et ils l'interrogeaient, en disant: Devine qui t'a frappé. 65 Et ils proféraient contre lui beaucoup d'autres injures.
Le chemin du Christ, c’est celui de l’obéissance, de l’amour, du pardon, du don de soi et bien souvent de l’humiliation.
Luc 6
24 Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation! 25 Malheur à vous qui êtes rassasiés, car vous aurez faim! Malheur à vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et dans les larmes! 26 Malheur, lorsque tous les hommes diront du bien de vous, car c'est ainsi qu'agissaient leurs pères à l'égard des faux prophètes!
27 Mais je vous dis, à vous qui m'écoutez: Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, 28 bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. 29 Si quelqu'un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l'autre.